Je désire informer la direction de notre université que l'installation d'au moins une machine distributrice PEPSI s'est effectuée avec bien peu d'égards envers au moins un membre de la communauté universitaire, à savoir moi-même.
Entre l'endroit où je m'assieds pour travailler à l'ordinateur et l'endroit où la machine a été installée, je compte à peine 10 petits pas. Je travaille à la DITER, au Pavillon principal, au local S-218. La machine a été installée en face des ascenseurs, qui sont juste à côté de mon bureau, selon la logique qui voudrait que les ascenseurs soient synonymes d'affluence. Or, il y a peu de circulation au corridor S et, quand il y en a un peu plus que d'habitude, elle est le fait des mêmes collègues qui vont et qui viennent.
Comme je suis rédactrice de profession et que mon travail ne m'amène pas à circuler beaucoup, je suis en mesure de constater que la machine du corridor S attire bien peu de clients, à peine quatre ou cinq par jour. Je considère que je n'ai pas à subir le désagrément qui m'est causé par le bruit du compresseur pour une rentabilité fort discutable. Et même s'il devait s'agir d'une rentabilité importante, cela justifierait-il que je doive supporter une telle situation? J'en appelle donc à la bienveillance de notre direction. Les démarches que j'ai faites à ce jour auprès des Services alimentaires, qui m'ont été désignés comme étant les interlocuteurs de l'Université auprès de la société PEPSI, n'ont rien donné.
Si je suis de surcroît la seule personne dérangée par ces nouvelles installations, il n'y a pas de raison de ne pas intervenir rapidement.
Linda Longpré
Rédactrice
DITER