ACTUALITÉS

Le Pavillon de la Faculté de l’aménagement primé par l’OCDE

FCI: 12,1 M$ en financement d’infrastructures

Prix d’excellence en architecture institutionnelle

Hommage à des auteures de la communauté universitaire

Charles Sirois et Paul Desmarais fils, professeurs d’un jour

Signature de l’entente avec Hewlett-Packard

La campagne auprès des diplômés

Le Mérite en francisation des nouveaux arrivants

Inscriptions: hausse de 4,8 %

Les HEC signent leur contrat de performance

 

 

Le Pavillon de la Faculté de l’aménagement primé par l’OCDE

L’administrateur principal du Programme pour la construction et l’équipement de l’éducation de l’OCDE, Richard Yelland, et le recteur Robert Lacroix ont procédé, le 27 mars dernier, au dévoilement d’une plaque qui souligne l’événement.

Le Pavillon de la Faculté de l’aménagement est l’un des bâtiments choisis dans le monde par le Programme pour la construction et l’équipement de l’éducation de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) à titre d’établissement exemplaire sur le plan architectural.

L’OCDE a choisi ce pavillon pour illustrer l’excellence de la conception architecturale dans les établissements d’enseignement. Tous les établissements choisis sont illustrés dans un document publié par l’OCDE, Architecture et apprentissage.

Le Pavillon de la Faculté de l’aménagement a été repensé, rénové et agrandi par les architectes Saucier, Perrotte/Menkes, Shooner, Dagenais. Construit en 1936, l’ancien couvent des Sœurs de l’Immaculée-Conception a été acquis par l’Université en juillet 1995. Rénové en 1998, le Pavillon abrite aujourd’hui les écoles d’architecture, d’architecture de paysage, de design industriel et l’Institut d’urbanisme, de même qu’une matériauthèque et le Centre d’exposition.

 

FCI: 12,1 M$ en financement d’infrastructures

David Strangway, président-directeur général de la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI), a annoncé le 13 mars dernier un investissement de 12,1 M$ pour financer des installations de recherche de calibre international qui serviront à 23 universités canadiennes.

À l’Université de Montréal, ces nouveaux investissements de la FCI permettront de créer un laboratoire d’études des interactions patient-infirmière (178 599 $), d’étudier les mécanismes de régulation de l’angiogenèse dans les maladies cardiovasculaires (219 681 $) et d’obtenir l’infrastructure de capture et d’analyse d’images pour la recherche en vision par ordinateur (151 828 $).

La FCI est une société autonome à but non lucratif créée en 1997 par le gouvernement du Canada pour financer des infrastructures de recherche neuves et à la fine pointe des connaissances. Elle finance 40 % des coûts admissibles des projets; les autres 60 % de financement proviennent des établissements de recherche et de leurs partenaires financiers des secteurs public, privé et bénévole.

 

Prix d’excellence en architecture institutionnelle

L’École des Hautes Études Commerciales et les firmes Dan S. Hanganu et Jodoin, Lamarre, Pratte et Associés ont remporté l’automne dernier un prix d’excellence en architecture dans la catégorie «architecture institutionnelle» pour le bâtiment des HEC.

Ce prix, remis par l’Ordre des architectes du Québec, récompense les meilleures réalisations d’architectes québécois.

 

Hommage à des auteures de la communauté universitaire

Dans l’ordre habituel, au premier plan: Évelyne Lapierre-Adamcyk (en remplacement de Nicole Marcil-Gratton), Nancy Gélinas, Jeanne D’Arc Blais et Nicole Dedobbeleer; et au second plan: Rose Marie Lèbe, présidente du Comité, Louise Larivière, la vice-rectrice Claire McNicoll, Charlène Bélanger, Pauline Morissette, Karine Lévesque et Séverine Descombes.

Le Comité permanent sur le statut de la femme rendait hommage, le 15 mars, à des auteures de la communauté universitaire et à leur ouvrage (livre, rapport ou article).

Pour «Recherche en santé: enjeux et perspectives», mémoire présenté à l’Association des étudiants aux grades supérieurs de la Faculté de médecine, l’Association des étudiants aux grades supérieurs du Département de biochime et Force Jeunesse, les récipiendaires sont: Charlène Bélanger (doctorat en biochimie), Séverine Descombes (doctorat en sciences neurologiques), Nancy Gélinas (doctorat en pathologie et biologie cellulaire), Karine Lévesque (doctorat en microbiologie-immunologie) et Marie-Michèle Mantha (maîtrise en sciences biomédicales).

Pour le recueil de nouvelles Clément et Olivine, la récipiendaire est Jeanne D’Arc Blais, secrétaire de direction au Centre de formation initiale des maîtres.

Pour Le sida et les femmes seules à la recherche d’un partenaire: un groupe ignoré?, publié dans la collection Pluralités et convergences aux Éditions du Remue-ménage, les récipiendaires sont Nicole Dedobbeleer, chercheuse adjointe au Groupe de recherche interdisciplinaire en santé, et Pauline Morissette, professeure agrégée à l’École de service social.

Pour Garde des enfants, droits de visite et pension alimentaire: résultats tirés de l’enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes, la récipiendaire est Nicole Marcil-Gratton, agente de recherche au Département de démographie.

Pour l’ouvrage Pour en finir avec la féminisation linguistique, aux Éditions du Boréal, la récipiendaire est Louise Larivière, chargée de cours au Département de linguistique et de traduction.

 

Charles Sirois et Paul Desmarais fils, professeurs d’un jour

Régulièrement durant l’année, dans le cadre du programme Professeur d’un jour, l’École des Hautes Études Commerciales accueille un chef d’entreprise qui vient partager son expérience, son savoir-faire et ses idées avec les étudiants et les professeurs de l’établissement.

Récemment, Charles Sirois, président et chef de la direction de Télésystème, et Paul Desmarais fils, président du conseil et cochef de la direction de la Corporation Power, se sont prêtés à l’exercice.

 

Signature de l’entente avec Hewlett-Packard

Dans l’ordre habituel, Dimo Tsakpinoglou, président d’INSO-Micro 2200; Michel Lespérance, secrétaire général; Lloyd Bryant, vice-président aux ventes chez Hewlett-Packard Canada; le vice-recteur exécutif Michel Trahan; et Pierre Bordeleau, vice-recteur adjoint aux technologies de l’information et de la communication. Photo: Yves Legris

L’Université de Montréal signait, le 15 mars dernier, une entente avec le fabricant Hewlett-Packard et son fournisseur autorisé INSO-Micro 2200 pour l’achat d’ordinateurs destinés aux professeurs et aux chercheurs membres du SGPUM.

 

La campagne auprès des diplômés

Le recteur Robert Lacroix (au centre) discute avec le téléphoniste Désiré Oulaï, étudiant à la maîtrise à l’École Polytechnique (à gauche), en compagnie du président de l’Association des diplômés, François Boisvenu.

Une soixantaine de personnes ont pris part, le 27 mars, à une rencontre visant à présenter au recteur Robert Lacroix, aux doyens et aux présidents de campagne les téléphonistes engagés dans la sollicitation auprès des diplômés. Entamée en octobre dernier, cette sollicitation s’inscrit dans le cadre de la campagne de financement Un monde de projets et a permis de recueillir des engagements de 975 000 $ sur trois ans.

Les 23 téléphonistes du centre d’appels, situé au stade d’hiver du CEPSUM, font plus de 1800 appels par semaine en vue d’atteindre l’objectif, fixé à 2,6 M$. «Il m’apparaît clair que nous atteindrons cet objectif d’ici le mois d’août prochain», a dit le président de l’Association des diplômés, François Boisvenu, qui préside également cette campagne.

Le Mérite en francisation des nouveaux arrivants

Dans l’ordre habituel, Robert Leroux, doyen de la FEP, Gisèle Painchaud, doyenne de la Faculté des sciences de l’éducation, la vice-rectrice Claire McNicoll, Nicole Lavergne, de l’École de français, et Jean Renaud.

Le ministère des Relations avec les citoyens et de l’Immigration a décerné à l’Université de Montréal, le 19 mars dernier, le Mérite en francisation des nouveaux arrivants dans la catégorie des établissements. Ce prix vient souligner en particulier la réalisation de la recherche sur l’installation des immigrants Ils sont maintenant d’ici!, dirigée par Jean Renaud, du Centre d’études ethniques, ainsi que l’étude sur les Niveaux de compétence en français langue seconde pour les immigrants adultes, de Michel Laurier, de la Faculté des sciences de l’éducation. Le prix est aussi décerné pour mettre en relief le travail de l’École de français de la Faculté de l’éducation permanente (cours de français pour non-francophones et certificat en français langue seconde).

Inscriptions: hausse de 4,8 %
À l’hiver 2001, l’Université a connu une augmentation des inscriptions, en étudiants équivalents temps complet, de 4,8 % par rapport au trimestre d’hiver 2000. C’est ce que démontrent les plus récents relevés (24 mars) du Registrariat.

Par ailleurs, les statistiques du Registrariat pour le trimestre d’automne incitent à l’optimisme, surtout aux cycles supérieurs. En effet, les chiffres en date du 24 mars révèlent une hausse de 6 % du nombre de candidats à l’admission à la maîtrise. Au troisième cycle, l’augmentation des admissions était de 21 %. Elle était de 9 % à l’éducation permanente et de 1 % au premier cycle.

Il ne faut toutefois jamais perdre de vue que les candidats à l’admission déposent généralement des demandes dans plusieurs universités. C’est pourquoi on ne peut vraiment connaître de façon précise la hausse de la clientèle étudiante qu’à partir du moment où les candidats à l’admission font leur inscription.

Les HEC signent leur contrat de performance
Le président du conseil d’administration de l’École des Hautes Études Commerciales, Hubert Barbeau, le directeur Jean-Marie Toulouse et le ministre d’État à l’Éducation et à la Jeunesse, François Legault, ont signé le 19 mars le contrat de performance intervenu entre l’École et le ministère. Ce contrat prévoit notamment que Québec investira 30,4 M$ de plus sur trois ans.

Cette entente permettra, entre autres, le recrutement d’une quinzaine de professeurs par année. Elle permettra également de réduire le nombre d’étudiants par classe et de faire passer le taux de diplomation au B.A.A. à 82 %, tout en gardant les mêmes exigences de qualité.

Le Service de placement et de gestion de carrière profitera aussi du soutien accordé afin de garantir un taux de placement de 90 % pour chacun des programmes d’études offerts à temps plein. Sur le plan de la gestion budgétaire, l’École a par ailleurs honoré ses obligations d’équilibre, qu’elle s’engage à maintenir.