Volume 35 numéro 19
5 février 2001


 


Bourses en microbiologie-immunologie

De gauche à droite, à l’arrière-plan: Julie Lemay, Simon Éthier, Joséphine Aho et Marc Drolet (président du comité des études supérieures du Département); au premier plan: Nadine Héroux, Kathleen Couillard, Guy Lemay (directeur du Département), Martine Voyer et Jacques Thibodeau (professeur et délégué au développement du Département). Étaient absents Loubna Jouan, Julie Binette et Ian Rodrigue-Gervais.

Au trimestre d’automne, le Département de microbiologie et immunologie de la Faculté de médecine procédait à sa remise annuelle de bourses à des étudiants des cycles supérieurs. Cette année, neuf bourses attribuées à partir du fonds de dotation du Département ont été remises à des étudiants inscrits au programme de maîtrise.

 

Création du fonds Me-Jules-Deschênes

De gauche à droite, Marie-Hélène Périgny, Yves Deschênes, Mireille Deschênes et Geneviève Magnan, qui tiennent les photos de Jules Deschênes et de Wilfrid Deschênes.

Au cours d’une cérémonie qui rassemblait plusieurs membres de la famille, des amis et des collègues du juge Deschênes, la Faculté de droit a voulu souligner la création du fonds Me-Jules-Deschênes. Ce fonds résulte d’un legs testamentaire fait par le juge Deschênes à son alma mater, l’Université de Montréal.

«Diplômé de la Faculté de droit en 1946, Jules Deschênes a été l’un des juristes canadiens les plus remarquables du 20e siècle», a déclaré le doyen Jacques Frémont. Me Deschênes a été juge en chef de la Cour supérieure, professeur de droit international privé à la Faculté et juge au tribunal international pour l’ex–Yougoslavie.

Le prix d’excellence Me-Jules-Deschênes, institué grâce à ce don, sera attribué à un étudiant en droit qui a un excellent dossier universitaire et des résultats de tout premier ordre en droit international.

Soulignons que quatre générations de Deschênes sont diplômées de la Faculté de droit ou en voie de l’être: Wilfrid Deschênes (notaire et père de Jules Deschênes), Jules Deschênes, Mireille et Yves Deschênes (enfants de Jules Deschênes) ainsi que Geneviève Magnan et Marie-Hélène Périgny (nièces de Jules Deschênes), étudiantes à la Faculté.