Bourses
en microbiologie-immunologie
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De
gauche à droite, à larrière-plan:
Julie Lemay, Simon Éthier, Joséphine Aho et
Marc Drolet (président du comité des études
supérieures du Département); au premier plan:
Nadine Héroux, Kathleen Couillard, Guy Lemay (directeur
du Département), Martine Voyer et Jacques Thibodeau
(professeur et délégué au développement
du Département). Étaient absents Loubna Jouan,
Julie Binette et Ian Rodrigue-Gervais. |
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Au trimestre dautomne,
le Département de microbiologie et immunologie de la Faculté
de médecine procédait à sa remise annuelle de
bourses à des étudiants des cycles supérieurs.
Cette année, neuf bourses attribuées à partir
du fonds de dotation du Département ont été remises
à des étudiants inscrits au programme de maîtrise.
Création
du fonds Me-Jules-Deschênes
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De
gauche à droite, Marie-Hélène Périgny,
Yves Deschênes, Mireille Deschênes et Geneviève
Magnan, qui tiennent les photos de Jules Deschênes et de
Wilfrid Deschênes. |
Au cours dune
cérémonie qui rassemblait plusieurs membres de la famille,
des amis et des collègues du juge Deschênes, la Faculté
de droit a voulu souligner la création du fonds Me-Jules-Deschênes.
Ce fonds résulte dun legs testamentaire fait par le juge
Deschênes à son alma mater, lUniversité
de Montréal.
«Diplômé de la Faculté de droit en 1946,
Jules Deschênes a été lun des juristes canadiens
les plus remarquables du 20e siècle», a déclaré
le doyen Jacques Frémont. Me Deschênes a été
juge en chef de la Cour supérieure, professeur de droit international
privé à la Faculté et juge au tribunal international
pour lexYougoslavie.
Le prix dexcellence Me-Jules-Deschênes, institué
grâce à ce don, sera attribué à un étudiant
en droit qui a un excellent dossier universitaire et des résultats
de tout premier ordre en droit international.
Soulignons que quatre générations de Deschênes
sont diplômées de la Faculté de droit ou en voie
de lêtre: Wilfrid Deschênes (notaire et père
de Jules Deschênes), Jules Deschênes, Mireille et Yves
Deschênes (enfants de Jules Deschênes) ainsi que Geneviève
Magnan et Marie-Hélène Périgny (nièces
de Jules Deschênes), étudiantes à la Faculté.