Volume 35 numéro 3
11 septembre
2000




COURRIER

Monsieur Paul Krivicky
Directeur général
CEPSUM

L’an dernier, nous avons acheté une carte d’abonnement au CEPSUM afin d’aller nager à l’heure du dîner. Le prix de la carte pour deux semestres, soit de septembre à avril, était de 228$. Nous ne nageons pas l’été. Nous préférons faire du vélo et de la marche, et puis il y a les vacances annuelles.

Cette année, le prix de la carte pour la même période de temps est de 292$, soit 28% d’augmentation. Pourquoi?


La direction du CEPSUM a changé sa politique de forfaits, en les offrant seulement pour une durée de 4 ou de 12 mois. Qu’est-il advenu de l’abonnement de 8 mois qui répondait si bien aux besoins de bon nombre d’employés?

On se demande si la direction du CEPSUM est intéressée par la promotion de l’activité physique chez les employés. Si oui, eh bien nous croyons qu’elle passe à côté d’un de ses buts.

Sans vouloir faire une liste exhaustive de nos doléances, permettez-nous tout de même d’en souligner une autre. Pourquoi nous oblige-t-on à payer le prix d’un abonnement complet à toutes les activités alors que nous ne désirons en pratiquer qu’une seule?

Que ce soit l’accès à la salle d’entraînement pour certains ou à la piscine pour d’autres, peu importe. Nous devons payer le gros prix pour accéder à tous les autres plateaux que nous n’utiliserons jamais.

Seule bonne note d’espoir, on nous dit que sera installé très bientôt un système automatique de contrôle des entrées. Espérons que le CEPSUM en profitera pour favoriser l’admission à une activité unique… à un prix abordable.

Sylvie Marceau et Clément Chayer
Techniciens de laboratoire
Département de chimie