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NominationsJacques Gravel vient d'être nommé vice-recteur adjoint (ressources humaines et gestion) pour un mandat de cinq ans par le Comité exécutif.
M. Gravel conservera toutefois la responsabilité de la Direction des ressources humaines. Par ailleurs, André Racette, directeur des finances, s'est vu confier des responsabilités accrues, notamment dans le processus d'élaboration du budget.
Ces décisions, qui s'inscrivent dans le cadre de l'organisation du vice-rectorat exécutif, ont pour but de permettre au vice-recteur Michel Trahan d'assumer pleinement le volet exécutif de son mandat en bénéficiant d'un soutien plus direct dans l'exercice de ses fonctions, en particulier dans les composantes ressources humaines et administration.
Depuis notre dernier numéro, plusieurs nominations ou renouvellements de mandats (qui sont généralement de quatre ans) ont été effectués par le Conseil et l'Exécutif; les voici.
À la Faculté des arts et des sciences, la doyenne Mireille Mathieu a été reconduite dans ses fonctions ainsi que le secrétaire Jean-Pierre Bernier et les vice-doyens Maryse Rinfret-Raynor, Marcel Lajeunesse et Joseph Hubert, auxquels vient se joindre, également comme vice-doyen, Luc Giroux, professeur au Département de communication.
Marielle St-Amour, responsable des certificats à la Faculté de l'éducation permanente, devient secrétaire de faculté.
Ont été nommés au Comité de retraite jusqu'en mai 2001 Michel Trahan, vice-recteur exécutif, et André Racette, directeur des finances; le mandat de Paul Cusson au Comité a été renouvelé.
Roger Bruno Richard a été reconduit dans ses fonctions de directeur de l'École d'architecture jusqu'en mai 1999.
Patrice Allard, étudiant au Département de science politique, a été nommé membre du Conseil.
Claude Carignan, professeur au Département de physique, devient directeur de l'Observatoire du mont Mégantic et Gilles Joncas, de l'Université Laval, directeur adjoint jusqu'en 2001.
Marius d'Amboise a été nommé directeur du Département de chimie.
Bernard Bernier devient directeur du Département d'anthropologie.
Patrick Robert, vice-recteur aux affaires publiques et au développement, et Bernard Lamarre, de SNC Lavalin, ont été nommés membres du Comité de gestion du Fonds de dotation, tandis que Yves Cloutier, directeur à la trésorerie et gestion des risques à la Direction des finances, en devient le secrétaire.
Pierre Moreau, professeur à la Faculté de pharmacie, a été nommé membre du Comité du fonds Barré.
Gilles Lavigne, professeur à la Faculté de médecine dentaire, et Denise Baillargeon, professeure adjointe au Département d'histoire, deviennent membres de la Commission des archives.
Julie Blackburn, étudiante, siégera au Comité de révision des décisions disciplinaires.
Ont été nommés pour la durée de leur mandat au Conseil Pierre-Paul Côté (Droit) au Comité du budget, Arthur Amyot (Psychiatrie) à l'Éxécutif, Monique Michaud (Stomatologie) et Thérèse Cabana (sciences biologiques) à l'Assemblée universitaire.
Enfin, cinq directeurs de département ont été nommés pour assurer l'intérim dans leur unité jusqu'au 30 novembre prochain: ce sont André Lafrance (Communication), Bernard Millette (Médecine familiale), Gilles Dussault (Administration de la santé), Claude Viau (Médecine du travail et hygiène du milieu) et Serge Bélisle (Obstétrique-gynécologie).
La Commission des universités sur les programmes (CUP), qui poursuit son analyse de la pertinence de la complémentarité des programmes universitaires secteur par secteur, vient de présenter son quatrième rapport, lequel décrit les programmes du secteur de la théologie et des sciences des religions et propose des voies de concertation ou d'autres solutions de rationalisation afin de consolider l'offre de formation dans ce domaine au Québec.
Le secteur de la théologie et des sciences des religions est caractérisé par une grande diversité de programmes. Cependant, la CUP a constaté que, considérant les différentes théologies enseignées (catholique, protestante, juive), les disciplines associées aux sciences des religions, la dualité linguistique du système universitaire et le contexte confessionnel ou non, aucun dédoublement de programmes n'apparaît dans une même ville.
À l'automne 1996, quelque 10 universités québécoises offraient 47 programmes longs (baccalauréats, maîtrises et doctorats) et 22 certificats à près de 2927 étudiants dans les deux champs du secteur. Dans le champ de la théologie catholique, on compte trois facultés à statut canonique (universités Laval, de Montréal et de Sherbrooke) et quatre départements (Concordia, UQAC, UQAR et UQTR). La Faculty of Religious Studies, de l'Université McGill, est responsable autant de la formation théologique protestante que de la formation en sciences des religions. Enfin, trois départements se consacrent aux sciences des religions (Bishop's, Concordia et UQAM).
La diminution de la clientèle des programmes de théologie et les récentes compressions budgétaires imposées à l'ensemble du système universitaire ont obligé les responsables des facultés et départements de théologie et de sciences des religions à rationaliser leurs activités. Une dizaine de programmes de théologie ont été éliminés et le corps professoral a été réduit de moitié depuis les années 1970. Les collaborations interuniversitaires sont nombreuses (UdeM et UQAC à la maîtrise et au doctorat; Université Laval et Université de Sherbrooke au doctorat; Concordia et UQAM au doctorat) et la Commission, en plus d'encourager l'achèvement de nouvelles ententes, recommande que les établissements parviennent à des accords sur leurs spécialités respectives afin d'examiner toutes les possibilités de concertation.
Le 12e congrès de la Fédération mondiale des ergothérapeutes s'est déroulé à Montréal du 31 mai au 5 juin derniers. Y participaient 3500 congressistes en provenance de 55 pays qui ont présenté 1500 communications. Une centaine d'exposants y ont donné un aperçu des derniers développements technologiques ainsi que des établissements et des ressources professionnelles de cette discipline.
Il s'agissait d'une participation record pour cette association, qui se réunissait pour la première fois au Québec. Le thème du congrès, qui était présidé par deux professeures de l'Université de Montréal, Francine Ferland et Huguette Picard-Greffe, était l'ergothérapie, une perspective globale à partager.
Le stand de l'UdeM, qui offrait un aperçu des programmes d'études en ergothérapie ainsi que des recherches menées par les professeurs, a été particulièrement fréquenté. Tous les professeurs du programme d'ergothérapie de même qu'un grand nombre d'étudiants aux cycles supérieurs ont d'ailleurs présenté des communications.
Un projet d'association des professeurs d'ergothérapie de langue française a suscité l'enthousiasme.
Au cours de visites dans une vingtaine d'établissements de la région de Montréal, les participants ont pu voir comment se vivait au quotidien la pratique de l'ergothérapie au Québec.
L'Université vient de franchir un autre pas dans l'informatisation de ses services. Depuis le 4 septembre, tout le contenu des annuaires de chaque faculté est accessible par Internet à partir de la page d'accueil de l'Université (http://www.umontreal.ca) sous la rubrique "Guichet étudiant".
"Comme certains détails relatifs aux cours ou aux programmes peuvent changer en cours d'année, l'informatisation des annuaires nous permet d'avoir le tableau exact de la situation au jour le jour, souligne le registraire Fernand Boucher. C'est un immense avantage par rapport à la version papier, qui est imprimée une seule fois par année."
L'étudiant ou le candidat peut y trouver tout ce qu'il doit savoir pour faire sa demande d'admission ou son choix de cours. En ouvrant le volet "Admission", le menu permet de naviguer dans les annuaires à partir du titre du programme ou du titre du cours.
L'option "Programmes" mène à la liste complète de tous les programmes présentés d'abord par cycles d'études, puis par champs d'études. Une fois repéré le programme désiré, les liens hypertextes conduisent dans un premier temps aux objectifs, à la structure et aux conditions d'admission de ce programme, puis au tableau des cours et à leur description de contenu; cette dernière page donne également la liste des programmes dans lesquels le cours est offert, son nombre de crédits et les trimestres où il se donne.
Les programmes proposés le soir, ceux pouvant être suivis à temps partiel et ceux accessibles en dehors du campus font aussi l'objet de présentations distinctes. On trouve de plus, sur la première page de l'arborescence des programmes, un outil de recherche permettant d'aller directement au programme désiré si l'on connaît son numéro.
La seconde option du site permet de faire le même type de navigation, mais à partir des listes de cours présentés par cycles, puis par champs d'études. Un clic sur la discipline désirée conduit à la liste des cours, puis à leur contenu. Comme pour les programmes, la première page de cette arborescence permet une recherche par sigles et numéros de cours.
Le site "Admission" présente également un formulaire de demande d'admission que le candidat peut télécharger en format PDF (le logiciel nécessaire est accessible à partir du site lui-même).
Ces éléments relatifs aux admissions ne constituent que le premier volet de la rubrique "Guichet étudiant". Un second volet permettra bientôt à l'étudiant inscrit de consulter son dossier personnel à l'aide d'un NIP, d'avoir accès à son bulletin de notes ou de constater l'état de ses droits de scolarité. Ce volet sera fonctionnel dès janvier 1999, promet Fernand Boucher.
Et dans un troisième temps, le registraire vise à ce que le site permette d'effectuer directement des transactions par Internet, c'est-à-dire faire son choix de cours, changer de programme et même acquitter ses droits de scolarité.
On estime que présentement entre le quart et le tiers des étudiants possèdent un ordinateur avec branchement sur Internet et que ce taux passera rapidement à 50%. Pour ceux qui ne disposent pas d'un tel outil chez eux, l'Université met à leur disposition plusieurs terminaux permettant d'accéder à son site web; on peut notamment les trouver au Registrariat, à la Faculté de l'éducation permanente et dans diverses salles de la Direction des infrastructures technologiques d'enseignement et de recherche (DITER).
Daniel Baril
Vous avez un site Internet à faire connaître? Faites parvenir l'adresse et une brève description du contenuà l'adresse suivante: barild@dircom.umontreal.ca